CANDIDATURE RENDEZ-VOUS BROCHURE
Interview Anna MOREAU

Interview Anna MOREAU

[Octobre Rose]

Les conséquences des traitements du cancer sur le corps sont souvent lourdes. C’est pourquoi, chaque trimestre, le Comité de Paris propose à 9 femmes de participer à une demie journée « Parcours beauté » pour se faire chouchouter par les étudiantes des écoles Silvya Terrade. L’année passée, pendant Octobre Rose, l’école avait mis en place une vente de t-shirts et de journées clientèles. 30 000€ nous avaient été reversés pour financer le séjour de vacances des enfants malades. Nous espérons que les étudiantes feront aussi bien cette année

Rencontre avec Anna Moreau, enseignante de socio-esthétique à l’école Silvya Terrade :
Je suis une ancienne élève de l’école Silvya Terrade Brive. Je suis diplômée en Socio-Esthétique de la faculté de pharmacie de Nantes. Depuis, 2016, je travaille au sein de La Ligue contre le Cancer comité Haute Vienne, auprès des patients et des aidants. En parallèle, j’ai intégré le Groupe Silvya Terrade depuis presque 3 ans pour enseigner la Socio-Esthétique dans l’une des écoles du Groupe.

Le Groupe et de sa section Socio-Esthétique :
Silvya Terrade c’est un réseau de 54 écoles de coiffure et d’esthétique en France et à l’étranger, dont 18 d’entre elles forment au métier de Socio-Esthéticienne.
Les élèves peuvent suivre leur formation en alternance et réaliser des stages auprès de nos partenaires : salons de coiffure, instituts, parfumeries, thalassothérapies, Spa, parapharmacies, etc.
La formation de Socio-Esthétique, reconnue par l’Etat, prépare les professionnels de l’esthétique et du médico-social (esthéticien(nes), infirmièr(e)s, éducateurs(trices) etc.) à intervenir auprès de personnes fragilisées ou en difficulté sociale.

Quels sont les bienfaits apportés par la Socio-Esthétique ?
Le plan cancer 2003, intègre la Socio-Esthétique parmi les soins de supports en cancérologie, en reconnaissant la nécessité de la prise en considération des altérations de l’image corporelle liées à la maladie et aux traitements.
A travers des ateliers ou en bénéficiant de soins individuels, les femmes et les hommes apprennent ainsi à adapter leurs soins à la maladie, mais aussi à apprivoiser leur nouvelle image.